Témoignage d'Henri GUÉRIN sur son vitrail de ND de Sous-Terre... annonce par un enfant de la résurrection, 2009 - Vitrail de la crypte : explication, Le timbre, en service depuis les années 1520. Les vitraux du XIII° siècle sont passionnants à plusieurs titres. Son visage a malheureusement disparu, Dans les vitraux de la même époque, au-dessus du portail : une autre Nativité, Les moutons sont une totale réussite (1), Les moutons sont une totale réussite (2), L’ange qui guide les bergers. Vendeuses de cierges au portail royal de la cathédrale, Aujourd’hui - quatre détails, à la façon du jeu des différences, Photographie - vers 1900. Dans le nord de la France, ce parti pris structurel rendait probablement les bâtiments très sombres. Il tient dans ses mains la pièce de menuiserie qui est travaillée, Le tourneur sur bois. On notera en particulier le pallium, signe distinctif du pape, Détail du siège d’apparat sur lequel est assis le pape, Un bélier. Photographie retrouvée dans un grenier familial, Anton KRUYSEN (1898-1977), artiste néerlandais au caractère ombrageux, a longtemps vécu en basse ville de Chartres, Bernard LORJOU (1908-1986) est artiste figuratif, Jacques LAGRANGE (1917-1995) est une figure intéressante, Jacques LAGRANGE - "Sanctuaire et Visiteurs", daté 1959, Eva KOHLER (1898-1996) est une artiste allemande, au dessin puissant, Juan COOK, dessinateur américain contemporain, Jacques BODENHORST est un peintre publicitaire d’Eure-et-Loir, Frank Myers Boggs (1855-1926) - vers 1915, Monnaie frappée (2014) par les Îles Cook, Dessinateur : Asselineau ; Imprimeur : Destouches ; Éditeur : Sinnett - début XIX° siècle, Dessinateur anonyme - début XIX° siècle, Dessinateur : Thorigny ; Édité en 1883, à partir d’un modèle plus ancien, Cette estampe assez peu connue, prise d’un point de vue original, Photographie de Charles Marville - vers 1855, Signée ‘Robin’, estampe des années 1900 / 1910, Dave Jeffery, artiste britannique du XX° siècle, Peinture à l’huile, qui s’apparente au mouvement de l’art naïf, Béatrice Roche-Gardies a travaillé avec l’atelier Loire pour cette réalisation en verre thermoformé, Depuis la promenade qui cerclait l’intramuros, Façade de la cathédrale - restituée par l’imagination, Vue depuis la place Châtelet -> Il n’y a pas de ‘chapelle Vendôme’ côté nord, Vue du chevet -> L’auteur a retiré les chapelles rayonnantes, Vue de la façade -> Les parties inférieures des tours sont identiques, alors que la tour sud est en réalité plus massive, Vue du flanc sud -> Chartres n’a plus de clocher à la croisée du transept depuis la révolution, Novembre 2011, démontage des échafaudages (1/2), Novembre 2011, démontage des échafaudages (2/2), Planche architecturale, inspirée de la monographie de Lassus, Dessin anonyme datant du début du XIX° siècle, depuis la place Châtelet - Vente à Drouot (2011), Aquarelle de Franck Will (1900-1950). L’effet visuel, plus souvent utilisé pour les anges - dont le rapace est une sorte de substitut - est saisissant, Détail des griffes. On peut donc supposer comme l'a fait remarquer Louis Grodecki que le maître qui a réalisé ce vitrail a dû être demandé par la fabrique de la cathédrale et qu'il est venu avec ses propres verres. Certains datent même du XII e siècle, un héritage rare du passé qui a survécu aux aléas du temps et aux modes. Ils sont représentés sur vingt-six verrières hautes et seulement trois verrières basses. Le dessinateur fait un curieux commentaire, pour le moins imaginatif : Statue du portail sud - baie de droite, dite des ‘confesseurs’ (1/2), Statue du portail sud - baie de droite, dite des ‘confesseurs’ (2/2), Peintures de clé de voûte. Une ceinture à la taille lui permet d’être assez libre de ses mouvements, Jubal (qui est mentionné dans la Bible) est un musicien, Très intéressant, au pied du médecin : des herbes curatives, Quand on regarde plus près, on voit les dépôts des différentes couleurs, Le philosophe est très largement conservé, Détail. Travail anonyme diffusé sur le web - 2010, Dessin aquarellé, par Franck Will (1900-1950), État actuel - Le pavillon de l’horloge a été restauré en 1992, avec le financement de l’Association ‘Les Amis de la cathédrale de Chartres’, Nuit d’hiver, sous un fin dépôt de neige, Cliché pris vers 1900 - On notera que le tirage est inversé, Gravure extraite de la monographie de Bulteau - Dessin vers 1860, Aquarelle rehaussée, de l’artiste Pierre Guillon, natif de Chartres - vers 1990, Estampe signée ‘Rouargue frères’ - vers 1840/45, Gravure - première moitié du XIX° siècle, Gravure parue à la fin du XVIII° siècle, chez Rigaud, avec rehauts de couleur à la main, Intéressante reproduction sur affiche d’une peinture de François Desnoyer (1894-1972), Eau forte, début XX° siècle, avec une curieuse erreur d’impression, d’où l’effet ‘miroir’, Dessin signé d’Adrien Dauzats, vers 1850. Le nombre et l'ampleur des fenêtres sont limités et l'intérieur des édifices est décoré par des fresques aux couleurs vives. On peut donc supposer que les verres étaient communs à tous les peintres-verriers. À ce propos, les lancettes contiennent les représentions des donateurs, au-dessous de la Vierge, les armoiries des comtes de Dreux, à gauche, au-dessous de Isaïe, Alix de Thouars, duchesse de Bretagne puis à sa gauche, au-dessous de Jérémie, sa fille Yolande, au-dessous d'Ezéchiel, Pierre de Dreux dit Mauclerc, et enfin, le fils aîné, Jean le Roux (né en 1217) au-dessous de Daniel. Il paraît pleurer, sa main sur la joue, Les panneaux du vitrail, dont sont extraits les différents visages du bonus, Vitrail de saint Nicolas (bas-côté nord) - Réseau de pétales bleus, sur fonds rouge, Vitrail des apôtres (déambulatoire - chapelle axiale) - Réseau de pétales rouges sur fonds bleu, Vitrail de saint Germain (déambulatoire nord) - Fleurs bleues - cœur rouge - et treillis rouge losangé. Les dais qui surmontent les statues colonnes sont de vrais édifices miniatures, Les drapés du Christ en majesté (baie centrale - tympan) sont un sujet d’émerveillement constant, Au sommet des colonnettes qui séparent les statues, Vue générale / à niveau des sculptures, Joseph, près des beaux personnages de la visitation (Marie et Élisabeth), Joseph, dont le regard plein de bonté inspire la sympathie, L’enfant Jésus, sanglé de langes. Les paupières fermées, le visage balance entre souffrance du supplicié et sérénité du croyant, Un marin est représenté de profil, coiffé d’une capuche, On saisit mal l’identité du deuxième homme, qui n’est pas affairé au navire, mais semble désigner le ciel, Détail du visage. Dans ce beau panneau, on voit l’empereur Maxence entouré de savants, Verrière des saintes Catherine et Marguerite. Le premier être vivant est semblable à un lion, le second être vivant est semblable à un veau, le troisième être vivant a la face d'un homme, et la quatrième être vivant est semblable à un aigle qui vole. Le vitrail montre Jacques qui prêche depuis sa prison. Quelques secondes d'observation attentive vous permettront de repérer qu'un détail 'cloche'... On retrouve un support à arcature et une plinthe à tireté sinueux, Un proche de Gad, le frère du roi des Indes, se penche sur le mort, Le visage, très subtil, marque quelques signes de tristesse, Un proche de Gad apparaît entre deux autres personnes qui sont venues auprès du mort, Un disciple de Thomas dispose son corps dans le tombeau, Le visage, assez rond, est animé par le mouvement des cheveux, L’apôtre saint Thomas débarque aux Indes, Le visage exprime la sérénité et la dignité, Saint Thomas est présenté au roi des Indes, Saint Thomas ordonne la construction d’une église, Saint Thomas, tiré par le bras, est conduit au supplice, Sur le visage du saint, semble apparaître une légère inquiétude, Ce visage jeune est caractéristique du verrier, Un marin gouverne la direction avec sa rame, L’un de nos coups de cœur, pour le côté très pittoresque de ce visag, Un mendiant reçoit un pain, distribué par saint Thomas, Malgré une cassure, ce visage que l’on devine assez âgé, aux yeux largement ouverts, aux cheveux dégarnis, respire la dignité, Le verrier a fait le choix remarquable de distinguer ce personnage des précédents, C’est un visage jeune et serein - presque souriant, qu’on a donné à Gad, Le roi des Indes Gundophorus reçoit son ambassadeur, accompagné de saint Thomas, Un homme malade est assis près du tombeau de saint Thomas, On voit sur son visage une profonde fatigue, Un maçon porte une pierre sur l’épaule, Il tourne la tête, qui apparaît de profil, Abbanès, serviteur du roi des Indes, présenté au roi saint Thomas, Son visage rayonnant donne l’impression d’une grande jeunesse, L’expression de l’enthousiasme se lit sur son visage, Son visage au regard puissant semble exprimer à la fois la gloire et la bonté, Un échanson donne une gifle à saint Thomas, Une expression dure se lit sur le visage du serviteur, L’échanson, sorti du palais, est violemment attaqué par un lion, Un fidèle de saint Thomas assiste à ses obsèques, Le visage, aux yeux expressifs, respire la confiance, Par informatique, rétablissement des arcades sourcilières - selon le dessin d’origine, Il apparaît, après examen, que les pupilles devaient à l’origine être un peu plus larges - et surtout de taille égale, Retouches informatiques sur les colorations du verre altéré et sur plusieurs manques de grisaille localisés : bouche et nez, Le cou est occupé par un verre de colmatage, à motif de feuillage, trop sombre, Première étape de dégagement des échafaudages, Les ouvriers de ‘Comi-services’, prestataire du lot échafaudage, La façade avant que ne s’engagent les restaurations du gros œuvre, La façade suite à l’achèvement des travaux, Vues de la mise en place de l’échafaudage, en mai 2007 - Montage 1, Vues de la mise en place de l’échafaudage, en mai 2007 - Montage 2, Vues de la mise en place de l’échafaudage, en mai 2007 - Montage 3, Vues de la mise en place de l’échafaudage, en mai 2007 - Montage 4, Vues de la mise en place de l’échafaudage, en mai 2007 - Montage 5, Charlemagne, quand il voit en songe Saint Jaques. Le tympan représente une scène de jugement dernier. La cathédrale Notre-Dame de Chartres est une cathédrale catholique romaine située au cœur de la ville de Chartres dans le département français d'Eure-et-Loir, en région Centre-Val de Loire. Époque fin XIX° siècle - Chapelle des martyrs. Ensuite un deuxième cercle de vitraux en forme de losange représentant la lignée des rois de Juda donnée dans l'Évangile selon Matthieu[Note 9]. Baie 42Mort, sépulture et assomption de la Vierge. Il s'agit de la baie 121. qui seront quelques années plus tard compilés dans la Légende dorée par Jacques de Voragine. Cependant, la présence de l'école de Chartres, célèbre au XIIe siècle, laisse supposer que la répartition des vitraux eût un sens précis pour ceux qui les conçurent. Elle aboutit à la prise de Constantinople par les croisés et à la fondation de l'Empire latin d'Orient en 1204. Tropologique ou Moral, étapes que l'esprit humain doit parcourir dans son ascension vers Dieu (concerne le présent). Troisième occurrence d’un cordon 'décollé', qui use du même effet bicolore, Le maître verrier de Charlemagne (déambulatoire nord) utilise aussi le procédé : on le voit avec cette langue de terre rouge, Charlemagne (déambulatoire nord). Scène de la nativité, Chartres - Nativité. Quadrilobes bleus à cœur jaune, Saint Martin, militaire romain, partageant son manteau avec un déshérité, L’épée, qui permet à Martin de couper le manteau, Donateur : Thibaut VI, comte de Blois et Chartres de 1205 à 1218, Pour rappel : Visage de saint Paul avant restauration, Mains, plus effilées que dans les verrières adjacentes, L’épée est le signe distinctif du martyr, La frange de la tunique est ornée d’un galon pourpre sur fond or, Les drapés, notamment ceux de la tunique verte, démontrent à nouveau le savoir-faire du peintre verrier, Le fourreau de l’épée, en cuir, pend sur l’avant bras, Sol. La rose est d'abord la représentation d'une roue. Les noeuds prennent la forme de masques, Rinceau avec des hommes en cours d’escalade, Le jubé est détruit en 1763. Cliquez sur une vignette pour l’agrandir. Un chevelure plus bouclée que celle des autres apôtres, Apôtre qui désigne la direction à suivre, Apôtre qui désigne les villages où l’évangélisation reste à faire, Apôtre - qualité de la peinture (drapés, visage), richesse des couleurs (bleu, rosé), Apôtre en attitude de prière suppliante, Apôtre - la main sur la poitrine signifie l’acceptation et l’intériorité, Apôtre - on trouve à la fois les positions debout et assise, Apôtre - chez certains, l’évangéliaire est remplacé par un rouleau, Apôtre - la combinaison de couleurs jaune / vert est assez fréquente, Apôtre - les regards sont parfois remarquablement éveillés, Apôtre - le nombre importants des acteurs (12 !) Cathédrale de Chartres :Sculptures - portail sud : Introduction. Tout simplement, parce quil ny a plus quà Chartres que vous pouvez voir autan… Une vision saisissante en contre plongée, qui magnifie l’édifice, À l’angle de la tour nord. Combat à la lance. Destructions et … La livraison est rapide. Les trèfles y sont remplacés par des pics aux pointes recourbées, Sur fonds bleu, vert et jaune : la créativité du maître verrier s’exprime à plein, On retrouve, sur fonds violacé et bleu clair, sa façon de faire, si caractéristique, Olivier rapporte à l’empereur Charlemagne la mort de Roland, Étonnante astuce du verrier : sur la même plante, un trèfle évidé, un trèfle plein, Saint Jacques remet un tissu à un serviteur envoyé par le magicien Hermogène, Le maître verrier de Jacques est un ‘maniaque’ des trèfles - trois dans ce verre, Saint Jacques est décapité par le bourreau désigné par Hérode et le grand prêtre, À nouveau des trèfles, au nombre de six, Saint André est jeté en prison par une cohorte armée, Où le verrier de saint Jacques aimait les trèfles, celui de saint André est un maniaque des pics, Un jeune homme est ressuscité par l’intervention divine, C’est sans doute une main différente, qui a réalisé ces herbes, fines et serrées, Nous retrouvons le décor compulsif de ce maître verrier : douze pics autour du petit arbuste, Saint Pierre et saint Jean apparaissent à saint André, Un instant, le verrier fait preuve d’une originalité inattendue, Saint André meurt en croix et son âme est emportée au ciel par des anges, Saint André prie, assisté par la grâce divine, avant d’être emporté par des bourreaux, Sous ses genoux, ce tacheté serré - comme dans le vitrail des apôtres - évoque la pierre, Saint André est fixé à la croix, posée à l’horizontale, Saint Jean Baptiste montre le Christ à des apôtres, Le maître verrier dessine de petites vagues, sur lesquelles s’articulent des pics et des trèfles, Quatre beaux verres alternent jaune et bleu, Les apôtres, fils de Zébédée (Jean, Jacques) dans leur barque, On retrouve dans les herbes l’esprit du précédent panneau, même si le verre bleu est peint d’une façon un peu trop systématique, À la suite du Christ, Pierre sort de la barque pour suivre le Christ, Composition à partir de brins d’herbe et de trèfles, Le verrier regroupe les brins d’herbe en petite ‘mottes’, Le Christ appelant Nathanaël sous le figuier est l’une des scènes les plus réussies du vitrail, Au pied de l’arbre, le verrier se limite au minimum, Les apôtres lors de l’arrestation du Christ, Ici, les brins sont plus fins que dans les panneaux précédents, La composition des herbes est ici d’une grande originalité, Le Christ envoie des disciples évangéliser, Le sol est à nouveau réalisé en pierre, avec un tacheté serré, Saint Jacques apôtre - dans une version presque aussi brillante qu’une fenêtre voisine.

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