Il passe la matinée à l’école coranique jusqu’à l’heure du déjeuner, le fqih, un maître sévère et sans pitié, lui fait signe de partir. [p-p: 151-172], Lâenfant, souffrant de fièvre, ne se réveille que le lendemain soir, et malgré sa faim il ne peut rien manger. Les enfants jouent de leurs instruments et les femmes les admirent et les encouragent. Le narrateur décrit les préparations des femmes de la maison pour la fête, et comment cette dernière sâest déroulée. Après une nouvelle dispute avec Zineb, lâenfant plonge dans ses rêveries, sa mère lâen repêche pour manger. Le narrateur décrit la maison de lâancienne voisine. [p-p: 40-55], Sidi Mohammed et sa mère, dans les premiers jours du printemps, rendent visite à Lalla Aïcha qui habite dans lâimpasse de Zankat Hajjama. Dès le lendemain, le héros nâirait plus au msid durant lâabsence du père, il est malade, et sa mère souffre de la solitude. Les premières lignes de l'œuvre nous présentent un narrateur adulte qui souffre d’un sentiment de solitude si intense qu’il ne dort pas le soir. [p-p: 20-39], Après les deux jours et demi de repos, Sidi Mohammed revient au msid vendredi après la prière de midi. [p-p: 99-120], Deux jours avant Achoura, les femmes sâachètent des tambourins et des bendirs, le bruit de ces instruments accompagné de chant berce le quartier. Les femmes se procurent de belles robes et les enfants exhibent* fièrement leurs nouveaux vêtements. De ce panier, exécutant lâordre du voyant, Sidi Mohammed sort un objet sans le regarder: câest une boule de verre, de la grosseur dâun Åuf. La femme souffrante sâapprête à sortir, le narrateur nous présente une description de ce quâil garde encore sur lâancienne voisine. Souffrance de l’enfant, il a perdu son aptitude à imaginer. Il a frésuenté l’école coranique puis le collège Moulay Driss. Lalla Aïcha vient rendre visite à Lalla Zoubida après le départ du père. Sidi Mohamed ouvre sa boite à merveilles et se met à rêver. Le narrateur évoque également le Msid, le fqih, avant de parler du bain maure, quâil nâaime toujours pas. Le narrateur adulte souffre d’insomnie et fait état de sa solitude ( motifs de l’écriture autobiographique). Le même jour, Rahma a perdu sa fille Zineb au milieu de la foule en route vers un baptême. Lalla Zoubida reçoit la visite de Lalla Aicha. Partager. Si le roman autobiographique reprend des éléments très proches de la vie de l’auteur, il autorise des transformations de la réalité ( changement de nomes de personnes, transformation de certains faits). Sidi mohamed profite de l'occasion pour jouer avec les enfants des voisins . [p-p: 173-198], Les deux femmes et lâenfant arrivent chez Sidi El Arafi grâce aux renseignements des gens de son quartier. Copyright © 2020 JeRéussirai.com | Tous droits réservés. ( le jeu s’achève par une dispute et des hurlements). Il décrit ensuite les rituels des cortèges dâenterrement. La mère ne cesse dâintervenir pour rectifier. En revenant du m'sid, le narrateur trouve sa mère souffrante. Après un bon moment, un dialogue commence enfin entre les femmes, il sera interrompu par une voix dâhomme, mais ce nâest que Salama, la marieuse, câest la surprise dont lâhôtesse a parlé la veille en invitant son amie Zoubida, elle a beacoup de nouvelles à raconter. Les enfants sont libérés le soir après les rituels de coutume. Au souk, le père se dispute avec un dellal. Chapitre I : Le narrateur adulte fait état de la solitude qui semble être son lot quotidien depuis l'âge de six ans. Sidi Mohamed joue avec les enfants de la maison à la mariée. Il habite avec sa famille à Dar Chouafa, la Maison de la voyante, au fond d’une impasse. Le narrateur relate aussi ses journées au Msid auprès du Fqih et de ses condisciples et présente le monde de Da Chouafa et les habitudes de ses habitants. Il se trace un programme: jusquâau déjeuner il apprend avec ferveur ses versets, et lâaprès-midi, en faisant semblant dâapprendre, il donne libre cours à ses rêves où il se voit tantôt petit prince, tantôt lâhomme quâil souhaite devenir plus tard. Arrive ensuite le tour de la mère: elle sort une perle noire à dessins multicolores. Lalla Aïcha vient rendre visite à la mère, et le soir, après son départ, le narrateur ouvre sa Boîte à Merveilles, mais il est trop fatigué pour se livrer à ses jeux. Les voisines proposent chacune un remède. Sidi Mohamed joue à la trompette. Le moment de rétrospection ( le retour en arrière) ou le narrateur évoque des événements antérieurs qu’il a déjà vécus lorsqu’il était encore enfant. Hammoussa, lâélève le plus petit de taille de lâécole, vient chercher Sidi Mohammed, le fqih a besoin de lui. Lalla Aicha raconte ensuite … [p-p: 56-77], Ce mercredi, la baguette nâest plus quâun objet pour occuper les doigts du fqih! Lalla Zoubida a failli oublier la satinette que lui avait demandée Kanza en partant de chez elle, son fils lui rappelle cette commande. Background. Le jour de l’Achoura : Sidi Mohamed met ses vêtements de fête et part au Msid. On assiste ensuite à une scène rapide de douche non son violence dont le héros nâest autre que Sidi Mohammed. La nuit de l’enfant était peuplée de cauchemar. Le narrateur fait la description du chemin vers la maison de Lalla Aïcha en racontant la visite de Sidi Ahmed Tijani, la scène du marchand coléreux, et le dialogue à propos du bureau des chrétiens. C’est le moment ou l’auteur adulte commente, explique ou donne des informations sur un personnage ou un événement. Rahma organise un repas pour les pauvres à l’occasion du retour de Zineb. L'histoire: La Boîte à Merveille. La Boîte à merveilles, roman autobiographique d'Ahmed Sefrioui ancré* dans le Maroc des années cinquante, dans la médina de Fès plus précisément, raconte l'enfance de Sidi Mohammed, un petit garçon de six ans constamment animé* par le désir d'apprendre et … Lalla Zoubida n’accepte pas les bracelets croyant qu’ils attireront malheur à son foyer. Une longue description de chemin vers le mausolée, des lieux à côté, puis de lâintérieur de ce lieu sacré, la scène des femmes qui demandent de lâaide à ce saint, avant de raconter leur dialogue avec la Moqadma et sa série dâinvocation. Il effectue un retour sur son passé, une espèce de rétrospection ( l’emploi des temps du récit) et ne parle que de sa vie ( l’emploi de la 1ère personne : Je; nous; ma ; mes ; notre…,), des moments et des événements qui l’ont marqué. L’écriture est marquée par le souci de dévoiler aux lecteurs étrangers les traditions et la diversité culturelle de la ville de Fès particulièrement. [p-p: 222-239], Câest un matin joyeux, les femmes de la maison, à tour de rôle, chantaient un couplet ou une cantilène. Toute autobiographie doit être écrite à la première personne et suppose l’écriture de soi. Il décrit le début dâune journée ordinaire dans la maison de la voyante, où la vie commence à flâner rapidement le matin, de chambre en chambre. Aussitôt, Zineb, essouflée, appelle Zoubida, elle apporte une bonne nouvelle: elle a vu le père du narrateur! تلخيص وتحليل الفصل 1 من رواية La boite à merveilles résumé et analyse du chapitre 1 de l'oeuvre La boite à merveilles Premier roman de Sefrioui, La boîte à merveille, une suite de scènes et de tableaux, raconte la vie quotidienne d'une famille populaire dans la vieille ville de Fès. Driss El Aouad va en chercher dès que Rahma lâa mis au courant. Se sentant seul et triste, le narrateur recourt à sa Boîte à Merveilles où toutes ses figures de rêve lâattendent. Son parcours littéraire est beaucoup plus important, avec à son actif : Ahmed Sefrioui a été, jusqu’à sa mort en 2004, un grand écrivain à la plume originale et novatrice. La boîte à merveilles offre une grande place à la dimension ethnographique. Pour ce travail, le maître forme des équipes, mais à cause du désordre fait par les enfants, la tache accomplie ce jour-là était seulement passer les murs au lait de chaux. Pour les élèves, câest une occasion pour éviter les leçons et les récitations. La boîte à merveilles = boîte à rêves = remède à sa solitude. La salle du msid est nettoyée, les nattes remplacées, les murs badigeonnés. Ensuite, la scène de la femme étrangère qui a grondé Sidi Mohammed et qui a failli provoquer une dispute. Description du voyage vers le sanctuaire de Sidi Ali Boughaleb. Visite de Lalla Aicha : Lalla Zoubida souffre d’une terrible migraine + La pâleur de Sidi Mohamed. Elle annonce à son amie que Moulay Larbi, son mari, a épousé la fille du coiffeur Abderrahman. Chapitre 2 « la boite à merveille » : (résumée/événements principaux/question). Le soir, Sidi Mohammed sort sa Boîte à Merveilles, mais ses objets refusent de lui offrir lâenchantement désiré, il se met à pleurer. Résumé de la boîte à merveilles Chapitre 4 : Les premiers jours de printemps, Lalla Zoubida et son fils rendent visite à lalla Aicha. Les deux femmes sâapprêtent pour aller visiter le voyant aveugle Sidi El Arafi. Le Msid devenu agréable et accueillant respire la propreté. Quand les deux personnages sont revenus à dar chouafa, Rahma les invite un instant, le narrateur nous décrit la chambre de cette voisine. Dans leur chambre, lâenfant et sa mère attendent lâarrivée du père. ... vient lui rendre visite et réussit à la convaincre de visiter Sidi Boughaleb pour conjurer (=écarter en priant) le mauvais œil qui a frappé son fils. La Boîte à Merveille La symphonie des trois saisons... Premier roman de Sefrioui, La Boîte à merveille, une suite de scènes et de tableaux, raconte la vie quotidienne d’une famille populaire dans la vieille ville de Fès.Dès son ouverture, le roman ne … “La boîte à merveilles” est un roman autobiographique d’Ahmed Sefrioui, publié en 1954 et qui appartient à la littérature marocaine d’expression française. La boîte à merveilles présente une séquence sur la vie d’enfance d’Ahmed Sefrioui. Après être passés par des pavés mal ajustés, un couloir sombre, des escaliers⦠ils finissent par trouver la chambre du voyant. La boîte à merveilles fait partie des œuvres programmées pour la première année du baccalauréat et qui font l’objet de l’examen régional en fin d’année. Aussitôt dans la rue, lâenfant repense aux propos du voyant, tout-à -coup il court se cacher dans les plis du haïk de sa mère, il a vu passer le fqih du msid. Si Abdeslam arrive plus tôt que dâhabitude, la mère prépare la table pour le diner, mais personne ne mange. La mère du narrateur hésite un peu, puis finit par accepter sous lâinsistance de la visiteuse. Lâaprès-midi serait consacré à la récitation de tous les chapitres appris depuis le premier jour de chaque élève au msid. Sa boîte à merveilles s’est transformée en cercueil. Résumé : Le narrateur Sidi Mohamed a peur du mardi car il doit, comme tous bambins du Msid, réciter les chapitres de Coran appris depuis l’entrée à l’école. il annonce aux élèves comment ils devraient se préparer pour Achoura. L'Åuvre sâouvre sur un passage dans lequel le narrateur adulte décrit son présent où un sentiment de solitude, très ancien, le prive de dormir le soir quand les autres dorment. Après le dîner, elle déclare alors de manière indirecte, devant le père du narrateur, quâelle aussi désire une lampe à pétrole. Hamoussa l’interrompt et lui demande de rejoindre ses camarades au Msid afin de participer à l’équipement des lustres. Après la prière de lâAasser, le père vient chercher sa femme et son fils pour partir, Fatma Bziouya les accompagne. Lalla Zoubida la console comme une grande sÅur. Le nettoyage du Msid : le fqih distribue les travaux et forme des équipes. La littérature maghrébine d’expression française a vu le jour au lendemain de la seconde guerre mondiale, dans les pays du Maghreb. Une agitation fébrile* gagne tous les habitants de Dar Chouafa ainsi que ceux des quartiers voisins à l'occasion de Achoura. Le lendemain, lâenfant ne va pas au msid. Lâenfant devient vraiment malade, sa mère est folle de peur. Finalement, le narrateur nous relate le drame de la lessive entre sa mère et Rahma, la voisine, un bien long récit qui se clôt sur lâévanouissement du narrateur. Il a consacré une bonne partie du livre à parler des voisins, des amis de la famille, Le narrateur à l’âge adulte, se souvient de son enfance. La Boîte à merveilles est un roman autobiographique de l'écrivain marocain Ahmed Sefrioui, publié en 1954. Pour soulager son fils, le père se met à raconter l’histoire de Sidi… qui suit les cortèges funèbres. Sa chanson donnera naissance à un long dialogue entre les femmes de la maison, dont lâélément principal est le récit dâun événement qui fait rire raconté par Rahma à propos de lâoncle Othman et sa jeune épouse. La maison porte ce nom parce que effectivement une Chouafa,voyante, y habite. Le narrateur revient chez lui tout fier de sa journée. [wpdevart_facebook_comment curent_url="" order_type="social" title_text="" title_text_color="#000000" title_text_font_size="22" title_text_font_famely="monospace" title_text_position="left" width="100%" bg_color="#d4d4d4" animation_effect="random" count_of_comments="3" ]. La visite chez Sidi El Arafi ( un non voyant capable de voir la lumière cachée au fond des coeurs des hommes), Lalla Zoubida annonce à son fils son intention de le garer à la maison pour l’emmener chaque jour prier sous la couple d’un saint ( visite des principaux marabouts de la ville de Fès). Lâenfant, quant à lui, a droit à une longue trompette. Le roman ne manque pas d’instaurer une ambiance exotique avec notamment un regard d’une beauté frappante sur un monde particulièrement rempli de parfums et de tendresse. Les deux amies frappées par le malheur, décident de consulter un voyant, Sidi Al Arafi. Les premiers jours de printemps, Lalla Zoubida et son fils rendent visite à lalla Aicha. Toutes les femmes se lancent à maudire la famille du coiffeur. Le surlendemain à lâaube, le père quitte sa maison. Le narrateur nous présente alors la scène des pleureuses, suivie de lâarrivée des psalmistes. Critique du fqih : un personnage sévère et autoritaire. Après le déjeuner de fête, Lalla Aicha fait à la famille une visite surprise. Sidi Mohamed est nommé chef des frotteurs. De plus, l’oeuvre s’accorde des libertés du roman ou fiction et souvenirs sont difficilement identifiables. Rentré chez lui, Sidi Mohamed apporte un brin de menthe à tante Kenza. Solidarité des voisines. Du pronom «je» le narrateur passe à employer le pronom collectif «nous» pour parler aussi de ses parents, il présente dâabord la Chouafa en évoquant ses fêtes, elle occupait le rez-de-chaussée, puis les autres voisins: Driss El Aouad, sa femme Rahma, leur fille Zineb, et Fatma Bziouya. Sidi Mohamed se fait griffer par un matou dans la cour de la Zaouia, il bénéficie d’un repos de 2 jours de convalescence : il assiste au cérémonial des matinées, reçoit 2 beignets de Fatma Bziouya et un cabochon de verre de Rahma). Il explique ensuite pourquoi il nâavait pas dâamis. La Boîte à Merveilles est un roman autobiographique de l'écrivain marocain Ahmed Sefrioui, publié en 1954. La disparition de Zineb au mausolée des Idrissides. Celle-ci annonce que son mari l’a abandonnée et s’est remarié avec la fille du coiffeur. Tenaillé par la faim, il rêve au jour ou prince aimé, il offrirait un repas pour les mendiants. Grâce à la boite à merveilles, Sidi Mohamd s’échappe d’un monde de contraintes et d’incompréhension pour inventer un monde de rêve et de mystère. La boîte à merveilles = boîte à rêves = remède à sa solitude. Driss El Aouad arrive de son atelier, il monte saluer le père, il apporte une nouvelle, le divorce entre Moulay Larbi et la fille du coiffeur a été prononcé la veille. Rahma fait le récit du couple de Khadija, la jeune épouse avec son vieux mari l’oncle Othman. Une certaine atmosphère de joie et de beauté enveloppe le msid et tout le quartier. Résumé général de l'œuvre «La boîte à merveilles» 3: Ahmed Sefrioui, ou Sidi Mohammed, évoque son enfance passée à l'ancienne Médina de Fes. Lalla Aïcha vient chez la mère pour une visite rapide, elle lâinvite pour lui rendre visite le lendemain car elle lui réserve une surprise ! Le mari de Lalla Aïcha arrive, sa femme le rejoint dans la chambre. Celle-ci le récompense par une poignée de grains de sésame. Le lendemain Lalla Zoubida demande à Mâalam Abdeslam de lui acheter une. La boite à merveilles est le premier roman d’Ahmed SEFRIOUI qu’il a publié en 1954, il fait l’objet d’une autobiographie du même auteur dont il parle de son enfance et ses aventures dans la ville de Fés. La symphonie des trois saisons... Premier roman de Sefrioui, La boîte à merveille, une suite de scènes et de tableaux, raconte la vie quotidienne d’une famille populaire dans la vieille ville de Fès. Le narrateur rapporte le récit de Salama, comment Moulay Larbi lâavait chargée de lui trouver une seconde épouse. Le lendemain, lâenfant et son père vont au souk pour acheter des jouets et passer chez le coiffeur Si Abderrahman que Sidi Mohammed nâaime pas. La disparition de Zineb et sa retrouvaille étaient l’occasion d’organiser un repas de charité en guise de remerciements à dieu. La veille de l’Achoura : les femmes s’achètent des tambours et des bendirs. Il est obligé de quitter sa famille pour travailler comme moissonneur aux environs de Fès. En redescendant, il rencontre Rahma (à laquelle sa mère nâa adressé aucun mot depuis leur querelle à cause du linge) qui lui offre un cabochon, un nouveau bijou quâil ajouterait aux objets de sa Boîte à Merveilles. Le narrateur insère ensuite un récit raconté par une voisine de Lalla Aïcha (une mise en abyme) et qui était inachevé. Tout le monde récite la fatiha. La mère du narrateur, comme il la décrit, avait des talents dans lâart de raconter et imiter les personnages de ses récits. Elle est son bien personnel qui lui permet de s’enfuir du monde des adultes et des banalités de la vie quotidienne. Il menait une vie tranquille auprès de sa mère, femme au foyer, et son père, tisserand. Ce dernier succombe à son désir et la lui achète. [p-p: 240-249], Résumé scène par scène d'Antigone de Jean ANOUILH, Résumé chapitre par chapitre du Dernier Jour d'un Condamné de Victor HUGO, Eléments paratextuels autour d'Antigone de Jean ANOUILH. Lalla Zoubida emmène Sidi Mohamed à la kissaria pour lui acheter des vêtements à l’occasion d’Achoura. Une autre femme arrive pour demander de la menthe, câest Zhor, elle rejoint le groupe des femmes et se met à leur dévoiler quelques détails sur lâhistoire du malheureux Moulay Larbi. Ainsi, l’auteur s’engage à restituer avec exactitude et fidélité son passé et s’identifie à la fois au narrateur et au personnage principal : Auteur = Narrateur = Personnage principal. Si Abdeslam ne tarde pas à prononcer la phrase coutumière: «Nây a-t-il personne, puis-je passer?». Ceci est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre. Il passe la matinée à lâécole coranique jusquâà lâheure du déjeuner, le fqih, un maître sévère et sans pitié, lui fait signe de partir. Avec les premiers jours de chaleur, certains changements de disposition des meubles ont lieu à la maison, et, les journées devenant plus longues, le msid est installé dans un sanctuaire deux pas plus loin, quêtant de la fraîcheur. A la fin de cette visite, sidi Mohamed est griffé par un chat. La boîte à merveilles est une succession de tableaux et de scènes qui racontent le déroulement quotidien de la vie d’une famille connue dans la vieille ville de Fès. Une ancienne voisine, Lalla Aïcha, vient lui rendre visite, elle lui indique un fqih pour se débarrasser de ses maux physiques et moraux. La nuit de lâenfant était peuplée de cauchemar. Le lendemain, encore des équipes, Sidi Mohammed est nommé alors chef des frotteurs ! Chemin faisant, la mère rencontre une voisine de Lalla Aïcha et entame avec elle une longue conversation sur lâaffaire Moulay Larbi. L’après-midi serait consacré à la récitation de tous les chapitres appris depuis le premier jour de chaque élève au msid.A la maison, l’enfant trouve que sa mère souffre d’une terrib… Le départ du père est vécu comme un grand drame chez le narrateur, la souffrance et la maladie sont au menu de tous les jours et marquent le quotidien de la maison. Lalla Zoubida décide dâemmener lâenfant chaque semaine prier sous la coupole dâun Saint. Vient alors une description des objets de la Boîte à Merveilles et la relation que lâenfant entretenait avec eux, ils lui portent secours dans les heures de chagrin. Un inconnu vient de la campagne, il apporte des provisions, de lâargent et quelques nouvelles, câest le messager de Si Abdeslam. Il examine aussi certains faits passés à travers sa conscience et sa vision actuelle. Or ,dans la boîte à merveilles, la forme d’écriture tient à la fois de l’autobiographie et du roman. Quand elle revient avec le plateau pour le thé, elle trouve que le père se prépare déjà pour aller dormir. Lâenfant reçoit une nouvelle merveille, câest une chaîne que sa mère lui avait donnée. De retour chez lui, Sidi Mohamed se dispute avec Zineb, ce qui met en colère sa mère. Les élèves décorent le msid avec des lustres, besogne qui ne sâest terminée quâavant le coucher du soleil. On lit également lâhistoire de Sidi (jâen ai oublié le nom) avec le cadavre sur la civière sans cortège. RÉSUMÉ. Le matin suivant, la mère empêche lâenfant dâaller au msid, il doit lâaccompagner à la kissaria pour acheter de nouveaux habits, il est donc si heureux quâil pardonne à tout ce qui était source de malheur pour lui! Il compte vendre les bracelets (que la mère nâa pas aimés, croyant quâils sont la cause du malheur qui entre dans leur maison) pour laisser de lâargent à sa famille pendant son absence qui durera un mois. Le petit aide sa mère à écosser des fèves, besogne quâil nâa pas trop aimée, il va donc chez Fatma Bziouya qui roulait du couscous, elle lui tend un radis, mais nâen ayant pas aimé le goût, lâenfant monte sur la terrasse et le jette par-dessus le mur. Libellés : 1ere annee bac, bac, bac francais, Figure de style, La boite à merveille résumé chapitre 5, oeuvre, resume, résumé chapitre 5, résumés de tous les chapitres « Precedant Suivant » Accueil Avec l’arrivée de la chaleur, le Msid est déménagé dans un petit sanctuaire ce qui améliore l’aptitude d’apprentissage de Sidi Mohamed. Au début, la littérature maghrébine d’expression française de première génération est ethnographique ou plus exactement documentaire ( abordant des thèmes folkloriques) ce qui prédomine c’est la description de la vie quotidienne avec tous ses détails. ( temps du récit), Un coffret comportant des objets hétéroclites, Un objet qu’il ressort dans les moments de tristesse, de solitude et d’incompréhension. Lalla Zoubida rend visite à son amie Lalla Aicha dont le mari s’est remarié. Le héros raconte ensuite le récit de son jeu avec les enfants de la maison, avant de présenter la description des voisines de Lalla Zoubida. De retour , la mère raconte les malheurs de Lalla Aicha à toutes ses voisines : ( Lalla Aicha a vendu tous ses biens pour aider son mari à remettre en marche son atelier). La nuit du narrateur est pleine de cauchemars, le lendemain matin, sa mère pense quâil est malade, il doit donc rester au lit. Oeuvres du régional : La boite à merveilles à l'examen du français 1ere bac : “La boîte à merveilles” est un roman autobiographique d’Ahmed Sefrioui, publié en 1954 et qui appartient à la littérature marocaine d’expression française. Par un va et vient entre le point de vue de l'auteur-narrateur adulte et de l'auteur-narrateur enfant, le lecteur entre dans le monde solitaire du narrateur qui malgré quelques timides amitiés ne semble compter comme véritable ami que la boite à merveilles. La mémoire de Sidi Mohammed devient plus forte, il apprend ses lignes sans difficultés. Lalla Zoubida rend visite à Lalla Aicha, celle-ci lui réserve une surprise. Il remonte à son enfance et cède la parole au narrateur enfant, Sidi Mohammed. Un chant commence sur la terrasse, câest Lalla Khadija, une jeune fille qui a épousé un vieillard qui sâappelle oncle Othman. A la maison, le narrateur joue avec ses objets de la Boîte à Merveilles, surtout le cabochon que lui avait offert Rahma. Résumé publié par Miss Sara Touzani : Ahmed Sefrioui, ou Sidi Mohammed, évoque son enfance passée à l'ancienne Médina de Fes. Chez Fatma Bziouya, Lalla Zoubida découvre la lampe à pétrole, elle est éblouie de son pouvoir! Sidi Mohamed se sent encore une fois seul, écarté du monde des adultes, mais comprend que lui aussi a ses propres amis ( les occupants de sa boîte à merveilles). Lâhomme aveugle conseille à Lalla Zoubida de visiter les sanctuaires des Saints de Dieu qui veillent sur la ville. [p-p: 121-150], Câest le retour de la monotonie après les journées agitées dâAchoura. Lalla Aicha raconte à son amie les malheurs de son mari. Lalla Aicha conseille son amie de se rendre chez Sidi El Arafi. En effet, l’auteur ( Ahmed Sefrioui diffère du narrateur ( Sidi Mohamed). Sidi mohamed profite de l'occasion pour jouer … Un enfant frappe à la porte, câest Allal El Yacoubi, un élève de lâécole coranique, le fqih lâa envoyé prendre des nouvelles de Sidi Mohammed, ce dernier se cache derrière le lit, pris de panique. Tandis que les bambins de l’école coranique aiment jouer, imiter, grignoter…), La séance du bain maure ( séance infernale). Epris par la musique des syllabes du dialogue des femmes, lâenfant oublie le verre quâil tenait à la main, le thé se répand sur ses genoux. Le narrateur parle aussi de Driss le teigneux, lâouvrier qui vient le matin pour acheter les provisions, et au milieu du jour chercher le déjeuner de son patron (le père du narrateur). Pour un va et vient entre le narrateur adulte et le narrateur enfant, le lecteur entre dans son monde solitaire qui, malgré quelques timides amitiés, ne semble compter comme véritable ami que sa boîte à merveilles. A la maison, la mère est ennuyée car elle nâa plus de pétrole pour la lampe. Le narrateur relate ensuite un discours du père sur Abdallah lâépicier. La boite à merveilles études panoramique Dans son roman intitulé la boîte à mrrveille, Ahmed Sefrioui nous plonge profondément dans l’univers d’un petit enfant lié « intimement » à une boîte secrète capable de le transporter au-delà de la réalité. Il a exercé plusieurs emplois : interprète journaliste pour le quotidien nationaliste “Action du peuple”; sous directeur du musée Al Batha à Fès puis fonctionnaire aux ministères de la culture , de l’éducation nationale et du tourisme à Rabat. A propos de l’auteur : Ahmed Sefrioui est né à Fès en 1915, de parents berbères arabisés. Sidi Mohammed et sa mère rendent visite à Lalla Aîcha qui habite une maison simple mais où il fait bon vivre. Après lâavoir transformée, en la nettoyant, en or pur, le chat de Zineb la vole et prend la fuite! La petite fille qui aimait trop les allumettes de Gaétan Soucy est un roman qui traite du passage de l’enfance à la vie adulte à travers un parcours inusité et troublant. [p-p: 199-221], Quand lâenfant et sa mère sont arrivés chez Lalla Aïcha, cette dernière était occupée de chasser les mouches de sa chambre. Le narrateur nous raconte comment son père est devenu tisserand après avoir quitté son village situé à une cinquantaine de kilomètres. Le narrateur nous rapporte ensuite la scène de marchandage pour lâachat du gilet. A la maison, lâenfant trouve que sa mère souffre dâune terrible migraine (elle a mal à la tête). Cet homme sort très tôt et ne revient quâaprès la dernière prière, il mange à lâatelier. Le père se dispute avec le courtier rusé et disparaît dans la foule. Cette scène se termine par un drame: lâenfant reçoit un magistral coup de griffe dâun chat quâil voulait caresser (il y a beaucoup de chats dans ce mausolée), il pleure alors jusquâà son arrivée à la maison. Le Fqih explique ses projets pour la fête d’Achoura. Le soir, Si Abdeslam vient chercher sa femme et son fils, et les trois membres de la famille reviennent chez eux. Soudain, des cris déchirent le silence, câest à cause de la mort du coiffeur Sidi Mohammed Ben Tahar. La Boîte à Merveilles Résumé général. Libellés : 1ere annee bac, bac, bac français, boîte à merveille, La boite à merveille résumé chapitre 2, resume, résumé chapitre 2, résumés de tous les chapitres « Precedant Suivant » … Après le dîner, la mère raconte au père le drame de Moulay Larbi avec son associé Abdelkader, qui a nié tout ce que son patron avait fait pour lui venir en aide. Enfin, les trois visiteurs quittent la chambre de Sidi El Arafi, accompagnés des vÅux de cet homme saint. C’est le mardi, jour redouté des élèves du msid. À caractère ethnographique, le roman fut longtemps considéré comme le premier roman marocain écrit en français sous le protectorat français avant que ne soit réhabilité le récit Mosaïques ternies d' Abdelkader Chatt, publié en 1932 sous le nom de plume de Benazous Chatt. L’enfant suit attentivement la conversation des deux femmes qui parlent des voisines et de bien d'autres sujets. Il s’agit d’une œuvre qui se lit à plusieurs niveaux, ponctuée çà et là de traces intertextuelles repérables, pour la plupart, à la deuxième lecture. Le père à son tour se charge de raconter les histoires d’Abdellah l’épicier.
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