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porter le nom de sa mère islam

Est-ce que je dois changer mon nom pour porter le nom de mon père ? Topique 85, Les Spiritualités, 145-161. de Denise Masson, Paris, Gallimard. Le fait de changer de nom à 13-14 ans et passer du nom du père à celui de la mère (de Gamil Gharbi à Marc Lépine) ne peut qu'être un phénomène majeur, pour l'identité. Préoccupations légales et éthiques, Just and Sacred: The Fault Territories in Ancient Egypt, in Mesopotamia and in the Bible, Translating Ideas of Equality/Inequality in Law, Ecological Public Order, from Concept to Legal Framework, Les cultures à la rencontre du droit : l’Inde, Espaces des politiques mémorielles. 40Dans ce contexte, c’est surtout la paternité sociale qui importe, paternité qui se fonde sur un lien social, celui de l’alliance du père avec la mère de l’enfant, la paternité biologique étant alors toujours supposée. Par Rafaële Rivais (Blog SOS conso) Publié le 07 juin 2018 à 13h58 - Mis à jour le 04 septembre 2019 à 17h35. Le droit musulman (fiqh) loin d’être intangible et immuable, comme on a tendance à le penser, se situe dans une dynamique pragmatique et évolutive permanente ainsi que le montre la diversité des avis juridiques produits par les juristes musulmans sur des questions sans cesse renouvelées. En ce qui concerne les femmes mariées à un homme d’une autre nationalité, malgré la règle de filiation patrilinéaire, les réformes récentes de certains pays ont permis la transmission de la nationalité par la mère comme c’est le cas en Tunisie depuis 1992 , au Maroc depuis 2004, en Algérie depuis 2005, et en Égypte depuis 2004. L’anglais et les cultures : carrefour ou frontières ? Par ailleurs, des nouvelles questions de bioéthique issues du développement de la science et des techniques comme la contraception, l’avortement, le diagnostic prénatal, les procréations médicalement assistées, les tests ADN, le clonage, les cellules souches, ou encoreles greffes d’organes, ont amené les juristes musulmans (fuqâhâ’, ‘ulamâ’, muftî) à émettre des avis juridiques (fatâwâ,sg : fatwâ) sur ces questions inédites du point de vue du droit musulman classique tout en puisant leurs réponses dans l’esprit même de ces textes. ), Le labyrinthe du corps, Islam et modernité, Paris, Karthala (à paraître). J’ai été éduquée par ma mère dans la maison de mon grand-père. tout en étant adaptées aux musulmans vivant en Europe où l’islam n’est pas religion d’État. ), Défis contemporains de la parenté, Paris, EHESS (Cas de figure), 251-276. Le mari n’a rien qui lui donne le droit de donner son nom à sa femme tout en conservant, lui, celui de son propre père ! Remarquons que parmi les modifications apportées récemment aux codes de la famille de certains pays du Maghreb, la durée maximale de la grossesse a été considérablement réduite, elle est passée par exemple à une année dans la Mudawwana marocainede 2004. Corinne Fortier, “Le droit musulman en pratique : genre, filiation et bioéthique”, Droit et cultures, 59 | 2010, 15-40. Suggestive est l’analyse du terme de muhsana cité dans ce verset ; le terme de mhasan en arabe classique désigne aussi bien la fortification, que le fait de garder « la vertu » de son épouse18. 56La position sunnite à l’égard des procréations médicalement assistées exprimée entre autres, par l’université d’al-Azhar au Caire, consiste àautoriser toute technique médicale à la procréation réalisée dans un cadre intraconjugal, mais à interdire que ces mêmes techniques utilisent les gamètes d’une personne étrangère au couple43. Cet interdit ne concerne pas en revanche le musulman qui peut épouser une femme non musulmane de religion monothéiste (kitâbiyyin) puisque, quelle que soit la religion de la mère, l’enfant sera musulmanpar son père. L. Bercher et G. H. Bousquet, Paris, Maisonneuve. Search the world's information, including webpages, images, videos and more. Et, d’autre part, ceux qui tenteraient de témoigner risquent de subir la punition-même qu’ils voulaient voir infliger à ceux qu’ils accusaient. 36L’interdit de la parenté adoptive en islam témoigne de l’impossibilité de penser une filiation sociale qui ne serait pas fondée sur le biologique. 11Il est par ailleurs le protagoniste d’une émission de télévision qui a lieu tous les dimanches soirs sur la chaîne arabe al-Jazira. Il suffit de lire attentivement la seule sourate du Coran (XXXIII, 4) consacrée à l’adoption (tabannî) : « Dieu ne loge pas deux cœurs au dedans de l’homme [...] non plus qu’il ne fait un fils de ceux que vous adoptez »27, pour constater qu’on y parle bien d’une forme d’adoption mais qui est clairement opposée à la filiation28. En revanche, des méthodes plus définitives, comme la ligature des trompes pour les femmes, ou la vasectomie pour les hommes, ne sont pas autorisées par la plupart des juristes musulmans. Moi étant d'origine française je me rends compte que la religion musulmane ne tient pas compte de l'avis de mes convictions. Ces crimes ne sont pas prescrits par le droit islamique et ne sont pas l’apanage des sociétés musulmanes, puisqu’on les retrouve aussi chez des chrétiens et des druzes de Syrie, du Liban, de Palestine ou d’Israël, chez des hindouistes en Inde,et, par le passé, dans des zones méditerranéennes de religion chrétienne (Italie du Sud, Grèce…). Le peu de praticiens occasionne de longs délais d’attente et de nombreuses femmes se retrouvent alors hors délai légal pour pratiquer l’interruption volontaire de grossesse (IVG) pourtant autorisée par la loi jusqu’à quatorze semaines, et beaucoup doivent partir avorter clandestinement à leurs frais en Espagne. De plus, avance-t-il, en créant un être ressemblant à l’identique à sa mère, le père pourrait reconnaître dans sa fille son épouse, ce qui n’est pas sans risque incestueux50, témoignant ainsi de l’importance des ressemblances dans la naissance des sentiments51. 46D’autre, part, l’enfant dont la naissance se fait attendre est reconnu juridiquement comme légitime puisque, d’après certains juristes, la grossesse peut durer cinqans ou, selon d’autres, sept ans. Car, d’une part, il y a très peu de chance qu’elles puissent avoir été constatées par quatre témoins, comme le demande un verset du Coran (IV, 19). Ce principe juridique accorde une relative souplesse d’interprétation par rapport à la lettre de la loi en permettant au croyant d’avoir recours à des actes prohibés au nom de la nécessité. 9Le principe de nécessité et celui de la préservation d’un des buts supérieurs, qui s’articulent bien souvent ensemble dans les faits, ne sont mis en œuvre que parce qu’ils visent un bien commun (maslaha), principe également important en islam. les réformes récentes du Code de la famille de certains pays musulmans malékites, comme par exemple la nouvelle. J'ai 30 ans passé et j'ai vraiment besoins de faire ce changement de nom. Cette autorisation s’explique dans la mesure où il n’y a pas d’adultère (zinâ) puisque les deux femmes sont unies légalement au même homme, et dans la mesure où il n’y a pas de problème eu égard à la filiation paternelle de l’enfant qui revient au mari commun des deux femmes. Plus justement, plutôt que d’interdire toute forme d’adoption comme on le dit très souvent, l’islam limite les effets juridiques de l’adoption du point de vue de la filiation. Au nom de Celui qui tient mon âme en sa main, elle a effectué un repentir tellement important qu’il aurait permis - même à un percepteur de taxes - d’obtenir le pardon divin. un ami musulman m' a dit qu'il est possible de donner le nom de la mère suivi du nom du père car c'est le dernier nom qui est important. Pour lui, le clonage ne manipule pas la création dans la mesure où toute technique n’existe que parce que Dieu l’a voulue, mais il redoute, entre autres, le fait que le clonage qui ne nécessite, en plus de la cellule non germinative, que l’ovule et l’utérus de la femme, rende le rôle de l’homme superflu dans la reproduction (Dariusch Atighetchi), ce qui viendrait bouleverser les rapports entre les sexes, et menacerait la survie des individus de sexe masculin. Les évolutions législatives récentes diffèrent localement selon les pays, leur histoire, leur culture, leur gouvernement ainsi que selon l’influence de mouvements plus globaux qu’ils soient féministes, islamistes, humanitaires. Droits et Culture est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International. 62Comme le montre l’article de Dariusch Atighetchi, si en Iran, le don de sperme n’est pas autorisé par la loi parlementaire, le don d’ovocyte l’est depuis 200348. Cette pratique est exponentielle dans de nombreux pays musulmans au profit de certains hommes, en particulier de riches Saoudiens. Dans le shiisme, en effet, u, qui veut avoir une relation sexuelle légitime avec une femme peut contracter un mariage. ) Moulin (Anne-Marie) et Chuvin (Pierre), 1981, L’islam au péril des femmes, une anglaise en Turquie au XVIIIe siècle, Paris, La Découverte. Compte tenu de l’importance sociale que revêt la généalogie, il n’est pas de plus grande ignominie que de ne pas avoir de filiation ou nasab, et de porter, conséquemment, le nom de sa mère. Je suis venu pour a… On voit donc que loin d’être figé et immuable, le droit musulman, grâce à « l’effort d’interprétation raisonnée » (ijtihâd) opéré par tout érudit musulman (‘alîm) selon certains principes de raisonnement établis tel le raisonnement par analogie (qiyâs), sait se renouveler et s’adapter à des innovations technologiques, à de nouvelles réalités sociales et à des espaces culturellement différents de l’islam. D’unemanière moins prononcée, on retrouve aussi en France cette même difficulté à confier des postes de responsabilité à des femmes, du fait de certaines représentations archaïques qui leurs sont liées mettant en doute leur faculté à prendre des décisions et la légitimité de leur parole14. Furthermore, legislative reforms connected to «adoption», medically assistedprocreation, denial or recognition of paternity, use of genetic tests, illustrate the relation of biological and social in the determination of filiation in Islam. 32Dans le droit musulman, le terme désignant l’acte de mariage, ‘aqd, qui signifie littéralement « attachement » ainsi que les expressions relatives au divorce sont tout à fait significatives de la nature du lien conjugal, en particulier, celle qui fait référence au cou de la femme, attaché lors du mariage, et libéré au moment du divorce. La question de la suprématie de l’homme sur son épouse est importante dans la pensée juridique musulmane. Qayrawânî (Abû Zayd), 1968, La Risâla. Mais dans le même temps, elle n’est plus sous sa protection, y compris financièrement. Ce rôle socialmasculin n’est pas propre à l’islam mais se retrouve dans de nombreuses sociétés, y compris la nôtre13.

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